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    Suzan Pitt
    Suzan Pitt © Blue Kraning Laura Kraning
    • JEU 09 DÉCEMBRE 2021 À 20:30

    Hommage à Suzan Pitt

    « À travers ces cinq films, on découvre des facettes variées de Suzan Pitt mais émerge aussi la notion d’une œuvre avec ses obsessions, ses désirs d’expérimentations, ses thématiques et l’idée d’un cinéma où le son, le mouvement et les couleurs se mêlent pour nous faire entrer un monde parallèle dans lequel le nôtre se reflète. Certains ont pu évoquer des noms comme Jérôme Bosch, Max Beckmann, Dorothea Tanning, voire Frida Kahlo quant à l’étrange petit monde de Suzan Pitt. Pourtant, rien n’y ressemble vraiment et c’est pour cela qu’il est bon de s’y plonger dedans. » (aVoir-aLire.com)

    Asparagus

    de Suzan Pitt

    États-Unis l vostf l 1979
    20 min l Couleur l Cinéma Numérique 2K

    Une sorte de « Marabout, bout de ficelle » aux allusions phalliques. Une explosion de couleurs éclatantes où chaque image donne naissance à la suivante.

    Joy Street

    de Suzan Pitt

    États-Unis l vostf l 1995
    24 min l Couleur l Cinéma Numérique 2K

    Le film, à l’ambiance jazzy, narre l’histoire d’un petit singe simili cartoon, statuette de cendrier, qui va sauver sa propriétaire cafardeuse. Plus hypnotique, mais plus mélancolique, il traite ouvertement de la dépression et du suicide.

    El Doctor

    de Suzan Pitt

    États-Unis l vostf l 2006
    23 min l Couleur l Cinéma Numérique 2K

    Un vieux docteur au cœur fragile se noie dans l’alcool et rêve à l’amour avec une femme-cheval Caballita. Invoquant Santa Esmeralda, la Sainte du Vide, il va devenir le témoin de nombreux miracles…
    Peut-être son projet le plus ambitieux, imprégné de culture mexicaine - avec de nombreux personnages - et son premier film parlant, basé sur un scénario écrit par le fils de l’artiste, Blue Kraning.

    Visitation

    de Suzan Pitt

    États-Unis l vostf l 2012
    12 min l Couleur l Cinéma Numérique 2K

    Inspiré par les écrits de H.P. Lovecraft, le film  explore un univers plus sombre, gothique et romantique noir, s’appuyant sur une élégie pour violoncelle et piano de Jules Massenet. Des images de torture médiévale et d’abattoirs se fondent dans un noir et blanc hanté.