1. Soirées 100% doc
Rendez-vous hebdomadaire : chaque mardi.
Le cinéma documentaire, genre cinématographique aux formes et aux écritures multiples, occupe une place de choix dans la programmation. Chaque mardi, deux séances y sont consacrées. Ces soirées 100 % doc réunissent oeuvres patrimoniales, avant-premières, films inédits en salle et rencontres avec les cinéastes.
2. Documentaire sur grand écran
Rendez-vous mensuel : le premier mardi du mois
Le premier mardi du mois, carte blanche est donnée à Documentaire sur grand écran. Il y a trente ans, ce nom choisi sonnait comme un slogan pour la toute jeune association. Aujourd’hui, si la vitalité et la créativité de ce jeune cinéma n’est plus à prouver, sa diffusion sur grand écran reste un ardent défi.
3. Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
Rendez-vous ponctuel.
À l’occasion de plusieurs soirées au cours de la saison, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir présente des films issus de son fonds de documentaires internationaux sur l’histoire, les droits et la création des femmes et des LGBTQ+. Des projections en présence des réalisateur·ices et suivies d’un débat.
En septembre
Maria Schneider, Sylvia Kristel (Maria Schneider, 1983 + Sylvia Kristel, Paris), Delphine Seyrig et Calamity Jane (Calamity Jane & Delphine Seyrig: A Story de Babette Mangolt)… C’est en bonne compagnie que s’ouvre la saison : des femmes exceptionnelles et des films singuliers qui remontent le temps autour d’icônes du cinéma marquées par les rôles qu’elles ont interprétés.
Projeté en sa présence, le film de Babette Mangolte, qui retisse les fils d’un projet inachevé de Delphine Seyrig, promet d’émouvantes retrouvailles.
En octobre
Les semaines suivantes, les murs ont la parole avec Natacha Thiéry (Des cris déchirent le silence), collectionneuse des collages qui ont fleuri dans Paris, tandis qu’Alain Cavalier orchestre en un ballet presque muet (Libera Me) la résistance à l’oppression.
Documentaire sur grand écran fait sa rentrée avec l’avant-première du dernier film de Jean-Gabriel Périot, Se souvenir d’une ville, mis en miroir avec le travail précieux de Gianikian et Ricci Lucchi.
Double programme encore avec le festival Fenêtres sur le Japon qui présente son palmarès : l’épopée tokyoïte d’un coursier en temps de Covid (Tokyo Uber Blues de Taku Aoyagi) et le portrait de deux demandeurs d’asile au Pays du soleil levant (Kurdes de Tokyo de Fumiari Hygua).
Autres pépites du mois, Dans le silence et dans le bruit brouille les pistes pour une immersion sensible dans un lieu refuge, et Mauvaises filles lève le voile sur une congrégation d’un autre âge que racontent d’anciennes pensionnaires.
Enfin, les 50 ans de l’événement, sportif et politique autant que musical, sont l’occasion de redécouvrir When We Were Kings, combat de boxe historique et concert de légende.