19h
Rencontre avec Jean-Xavier de Lestrade pour Des vivants
Master class
Mathieu Macheret, journaliste.
Dans le cinéma révolté du japonais Nagisa Oshima, tout se résout et se projette sur l’épiderme. Les peaux ruissellent, craquent, saignent. La peau, c’est la surface de contact privilégiée entre le corps ritualisé et le monde extérieur, l’endroit où chacun encaisse les frictions de son existence politique.