Le temps qu'il reste

Construit en flash-back où se rejoignent autobiographie et histoire de la Palestine, ce film est “inspiré des carnets personnels de mon père [...] et aussi des lettres de ma mère aux membres de sa famille qui furent forcés de quitter le pays”, écrit Elia Suleiman. Un hommage sensible à la vie quotidienne des “Arabes-Israéliens”, vivant comme une minorité dans leur propre pays.