Au XVIe siècle, une bande de mercenaires, s’estimant lésés par un seigneur, enlèvent et violent la promise de son fils avant de semer la terreur dans son château.
Comme pléthore de Verhoeven qui possèdent des correspondances implicites entre eux (LE QUATRIEME HOMME est la version brouillonne – oui mais quel brouillon ! – de BASIC INSTINCT), LA CHAIR ET LE SANG peut être vu comme une habile transposition de FLORIS (1969), série télé qui a constitué en son temps un immense succès néerlandais. Paul Verhoeven y passe au hachoir les mêmes conventions de l’épopée médiévale. À revoir, enfin… dans une salle de cinéma.