Albanie #1 / Courts métrages

Dans ce film, considéré comme le premier documentaire albanais à part entière, Enver Hoxha se mêle aux populations locales, suivi par la caméra novatrice de Mandi « MAK » Koçi.

Enver Hoxha mingles with locals in what was considered as the first full-fledged Albanian documentary, featuring the work of pioneering cameraman Mandi "MAK" Koçi.

« Poème cinématique » basé sur le texte d’Ismail Kadaré, cette ode à l’esprit national albanais, réalisée par le vétéran Viktor Gijka, nous offre une profusion d’images étonnantes.

A "cinematic poem" anchored by Ismail Kadare’s text, this ode to the Albanian national spirit boasts of outlandish images galore courtesy of veteran Viktor Gjika.

Des images de Tirana, présentes et passées, se rencontrent pour composer une vitrine des progrès financés par l’État, typique de l’époque : aux vieilles coutumes succèdent les machines modernes.

Images of past and present Tirana converge to produce a then much-practiced visual showcase of state-sponsored progress, as old customs give way to new machines.

Une pique finale féroce réalisée lors des derniers jours du studio d’État de l’Albanie post-communiste. Entrelaçant d’anciens récits hagiographiques, le film constitue une mise en garde contre toute tentative de désigner de faux prophètes à l’ère post-communiste.

A powerful parting shot in the post-communist, final days of Albania’s state studio, as the film weaves old hagiography together to warn against a search for false prophets in the post-communism age.