"La Rue de la honte" de Kenji Mizoguchi
analysé par Charles Tesson, critique de cinéma
Dans La Rue de la honte (1956), Mizoguchi filme la vie d’une maison close comme une petite entreprise, avec son patron, ses employées (les prostituées), ses clients et ses fournisseurs. Doiton subir cette économie (la dette des prostituées, l’argent du client, les profits du patron), ou tenter d’y échapper ? À quel prix ? Là où l’argent règne, l’argent aide ? Charles Tesson