Mademoiselle Else

Christine Boisson est interviewée dans son appartement parisien. Le texte qu’elle prononce et les images qui surgissent évoquent à l’évidence la figure légendaire de Calamity Jane. Mais quel est le rapport exact qui lie ces deux femmes ?

D’après Arthur Schnitzler, un récit à la première personne d’une jeune fille contrainte de se montrer nue à un vieux monsieur, pour sauver son père ruiné. « La jeune cinéaste qui joue le personnage principal, invente avec une virtuosité ébouriffante un équivalent cinématographique à la technique littéraire du flux de conscience » (Isabelle Regnier).