Veillées d'armes

À Sarajevo, Marcel Ophuls interroge des correspondants de guerre sur leur profession. “L’humour, la multiplicité des références culturelles et cinéphiliques, la répartie et la sagacité de l’intervieweur, la capacité d’écoute et le goût des nuances, le refus de toutes les complaisances et la disposition à la polémique ajoutent une densité au documentaire qui en fait l’opposé de la télévision, soumise à l’impératif des ‘modules courts’.” (Paulo A. Panaragua - Positif n° 401-402, juil.-août 1994)