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    Sur les écrans en 1968

    Chaque dimanche

    La période mouvementée de 1968 est relatée dans Le Redoutable de Michel Hazanavicius, égratignant Godard au passage. Le Festival de Cannes est interrompu, une section parallèle, La Quinzaine des réalisateurs, se crée dans la foulée, destinée aux avant-gardes esthétiques qui s’expriment en ces temps d’aspiration aux changements, à la liberté. L’année 1968 au cinéma, ce sont des films aussi différents que La Grande Lessive de Jean-Pierre Mocky, If… de Lindsay Anderson, Les Biches de Claude Chabrol, Théorème de Pier Paolo Pasolini, Alexandre le Bienheureux d’Yves Robert. Chaque dimanche du programme est ainsi consacré aux films sortis en 1968.

    Dimanche 15 avril

    > La Grande Lessive de Jean-Pierre Mocky, programmé à 16h30

    > Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, programmé à 19h

    > Vixen de Russ Meyer, programmé à 21h

    Dimanche 22 avril

    > Les Biches de Claude Chabrol, programmé à 16h 

    > Mémoires du sous-developpement de Tomás Gutiérrez Alea, programmé à 19h

    Dimanche 29 avril

    > Théorème de Pier Paolo Pasolini, programmé à 14h30

    > Baisers Volés de François Truffaut, programmé à 16h30

    Alexandre le Bienheureux d'Yves Robert, programmé à 19h

    > Faces de John Casavettes, programmé à 21h

    Dimanche 6 mai

    > If de Lindsay Anderson, programmé à 16h30

    Un été capricieux de Jiri Menzel, programmé à 19h

    Peppermint frappé de Carlos Saura, programmé à 20h30

    Dimanche 13 mai

    L'Enfance nue de Maurice Pialat, programmé à 14h30

    Au pan coupé de Guy Gilles précédé de Saute ma ville de Chantal Akerman, programmé à 17h30

    Marie pour mémoire de Philippe Garrel, programmé à 19h

    > Rosemary's baby de Roman Polanski, programmé à 21h

    Dimanche 20 mai

    > Théorème de Pier Paolo Pasolini, programmé à 16h30

    L'amour c'est gai, l'amour c'est triste de Jean-Daniel Pollet, programmé à 19h

    Paris n'existe pas de Robert Benayoun, programmé à 21h