Homme atlantique (L')
de Marguerite Duras
42 min l 35mm optique
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SÉANCE PRÉSENTÉE PAR SÉBASTIEN RONCERAY, spécialiste du cinéma expérimental
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Ce que nos ancêtres plasticiens dessinaient sur des parois de grottes, Stephanie Maxwell nous le restitue sur pellicule. La pellicule comme caverne de la mémoire collective, d’où tout peut rejaillir.
Le sujet de ce film est le cinéma lui-même. Son exposition et sa forme sont proches de la tradition des poèmes du cinéma structurel fondant la matérialité du médium (lumière, obscurité, la forme comme projection fantomatique du dispositif cinématographique).
Quelques images perdues dans le noir, brefs souvenirs d’une journée passée à la neige. Ce qu’il restera peut-être plus tard à l’esprit des enfants présents ce jour-là.
Un écran noir sonorisé qui peu à peu laisse apparaître la lumière dans un échange musique-images qui ne cesse d’évoluer.