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    Paris en court

    Evénement ""Le jour le plus court""

    La Ville de Paris s’associe à la Fête du court métrage lancée par le Centre national du cinéma et de l’image animée !

    Tremplin vers le long métrage pour de jeunes réalisateurs, il est aussi un lieu d’expérimentation et d’innovation pour des cinéastes confirmés. C’est pourquoi Paris encourage et soutient la production de films courts tournés dans la capitale. Depuis la création en 2006 du fonds de soutien au court métrage de la Ville de Paris, une cinquantaine de projets ont été aidés, après avoir été sélectionnés par un comité présidé par le réalisateur Bruno Podalydès.

    Une sélection de 6 films soutenus par la Ville de Paris

    A main nue de Stéphane Demoustier et Guillaume Foresti, Kometa Films (12’)

    L’année de l’Algérie de May Bouhada, La Luna Production (17’)

    Corridor de Frédérique Ortega, Les Trois Ours (11’)

    Conversation avec un épouvantail de Sylvain Dieuaide, Yukunkun Production (18’)

    Quelques ecchymoses… de Carl Lionnet, Stromboli Films (20’)

    Tout le monde dit je t’aime de Cécile Ducrocq, Année zéro (6’)

    En détail

    A main nue de Stéphane Demoustier et Guillaume Foresti, Kometa Films (12’)

    Synopsis : Dans le bus, Dina est sous l'emprise incontrôlable de la volonté de ses mains : malgré elle, sa main se met à caresser la main d'un inconnu, Luc. Celui-ci traduit cette attitude comme une avance et tente d'établir un contact plus poussé avec Dina

    L’année de l’Algérie de May Bouhada, La Luna Production (17’)

    Synopsis : Dans le cadre de l'année de l'Algérie, on cherche des acteurs d'origine maghrébine pour un film historique. Le casting rassemble un certain nombre d'acteurs, fraîchement sortis des cours parisiens. Leur profession les a déjà amenés à miser sur leur physique typé et leur culture familiale. Pour autant, individuellement, chacun a son histoire. Très française.

    Corridor de Frédérique Ortega, Les Trois Ours (11’)

    Synopsis : Voyage en train dans un espace-temps poétique, le film évoque les difficultés à sortir de l’enfance. Un petit garçon et ses parents se promènent dans une fête foraine. La mère propose avec fougue à l'enfant de faire, seul, un tour de train fantôme. Malgré son appréhension, l'enfant accepte. Passé le tunnel, il va se retrouver hébété dans un vrai train dans lequel il devra se confronter à lui-même et grandir.

    Conversation avec un épouvantail de Sylvain Dieuaide, Yukunkun Production (18’)

    Synopsis : Un jeune homme se rend quotidiennement dans une église pour y croiser une jeune fille dont il est tombé amoureux. Il l’observe de loin, se contentant de cette image quasiment iconographique. Mais un jour, une personne vient troubler son rituel journalier (« l’épouvantail »), faisant fuir la jeune fille qui ne réapparaîtra plus. Le jeune homme ne trouve que l’épouvantail occupé à son manège et décide de régler ses comptes avec cet autre…

    Quelques ecchymoses… de Carl Lionnet, Stromboli Films (20’)

    Synopsis : Roger, la soixantaine, est hébergé par l’une de ses deux filles, Magda, la trentaine. Il est facétieux, farfelu mais, surtout, convalescent. La cohabitation, qui dure depuis plusieurs mois, est de plus en plus difficile. Au cours d’une énième dispute, Magda décide de se venger…

    Tout le monde dit je t’aime de Cécile Ducrocq, Année zéro (6’)

    Synopsis : Marion, seize ans, vient de recevoir un mot d'amour de son copain. Elle demande l'avis de sa meilleure amie, Joséphine. Les deux jeunes filles ne sont pas d'accord quant à l'interprétation à donner à je t'aime.