Installation vidéo de Laurent Fiévet
Artiste visuel et sonore, également docteur en arts cinématographiques, Laurent Fiévet n’en finit pas d’explorer Vertigo.
14H30
Carlotta’s Way de Laurent Fiévet
France montage vidéo 2014
coul. 1h33 (vidéo)
L’œuvre associe par effets de surimpression un court extrait de Vertigo, fortement ralenti et retravaillé par des jeux de va‑et‑vient, et une série de détails des Ménines de Diego Velázquez.
Suivi de :
Returning Carlotta’s Way de Laurent Fiévet
France montage vidéo 2014 coul.
2h (vidéo HD)
Également divisée en quatorze chapitres, l’œuvre propose un second parcours au sein de la composition de Velázquez pour créer d’autres interactions complexes avec l’oeuvre d’Alfred Hitchcock.
18H30
Rencontre avec Laurent Fiévet
Laurent Fiévet présente son travail et discute avec l’enseignante-chercheuse Diane Arnaud de la fascination infinie qu’exerce Vertigo et de la manière dont le film l’inspire pour son propre travail artistique.
Animée par Diane Arnaud (critique et chercheuse en cinéma)
Durée : 45min
19H15
Returning Carlotta’s Way de Laurent Fiévet
France montage vidéo 2014 coul.
2h (vidéo HD)
Également divisée en quatorze chapitres, l’œuvre propose un second parcours au sein de la composition de Velázquez pour créer d’autres interactions complexes avec l’oeuvre d’Alfred Hitchcock.
Suivi de :
Carlotta’s Way de Laurent Fiévet
France montage vidéo 2014
coul. 1h33 (vidéo)
L’œuvre associe par effets de surimpression un court extrait de Vertigo, fortement ralenti et retravaillé par des jeux de va‑et‑vient, et une série de détails des Ménines de Diego Velázquez.
Artiste visuel et sonore, également docteur en arts cinématographiques, Laurent Fiévet n’en finit pas d’explorer Vertigo (Sueurs froides). Ses deux films Carlotta’s way et Returning Carlotta’s way aiguisent et éprouvent notre regard en pointant et déconstruisant les interactions possibles engagées entre Vertigo d’Hitchcock et Les Ménines de Velázquez. Laurent Fiévet présente son travail et discute avec l’enseignante-chercheuse Diane Arnaud de la fascination infinie qu’exerce Vertigo et de la manière dont le film l’inspire pour son propre travail artistique.