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    Questions in a world of blue (Les bleus de David Lynch)

    par Hervé Aubron, critique et enseignant

    Si David Lynch est un coloriste nullement sectaire, le bleu a chez lui un statut particulier. Il relève de l’irradiation, par le biais de fétiches radioactifs (du biennommé Blue Velvet à la boîte de Pandore de Mulholland Drive), de rayonnements fulgurants (séquence du Silencio dans Mulholland Drive) ou miroitants (fantastique ouverture de Twin Peaks, Fire Walk with Me).